LE BILLARD
Il est vingt et une heures lorsque les clients quittent l'agence, après avoir signé leur compromis de vente. Je me retrouve seul avec ma collègue. Elle travaille dans une autre agence, et c'est la deuxième fois seulement que je la vois.
Les cheveux chatains, une poitrine débordante couvert par un petit haut lycra bien moulant et surtout sans soutiens gorge. Des tétons qui pointent et qui poliment m'appellent. Une petite jupe noire courte, voir très courte. Un visage doux.
Je vais chercher une bouteille de gin et du Schweppes dans le frigo, pour fêter notre première collaboration. Nous trinquons, et nous nous racontons notre parcours et notre vie.
Une bouteille de Gin plus tard. Nous dérivons lentement, mais surement vers une conversation érotique, lorsque soudain, elle me dit.
" L'autre jour. Il était minuit, on rentrait d'un restaurant avec mon mec, il a ouvert une porte d'entrée d'immeuble, il m'a fait entrer et ensuite m'a baisé dans le hall "
" Ouais, ouais, ouais, je vois "
" Mais, ce que je préfère le plus, c'est le coup du billard "
" A ouais, c'est quoi ça "
" ben, je suis allongé sur le billard, sur le dos. Pendant qu'un mec me prend, tous les autres sont autour de moi, et se branlent pendant que je les carresse "
" Si je comprends tout bien, tu as une nature assez ouverte sur le sexe ? "
" On peut dire ça comme ça "
Je décide de couper court à la discussion, et lui demande de finir son verre et de partir.
Non je déconne,
Je sais que c'est mal, c'est pas bien, mais j'ai bu et j'ai déja dépassé la dose d'alcool iréversible. Le dédoublement de personnalité s'opére. A partir de ce moment, ce n'est plus moi qui tiends les rênes de mon corps, c'est l'autre. J'essai de lutter et de reprendre le contrôle de mes actes, mais impossible.
Il se rapproche d'elle, et attrape le bout de tissu en lycra pour lui découvri sa superbe poitrine. Au même moment, elle écarte ses cuisses en laissant apparâitre un string blanc dans la fente de ses deux lèvres.
J'essai de le résonner mais rien n'y fait. Il pose ses mains et sa bouche sur les seins tandis qu'elle essai de le déboutonner. J'assiste impuissant à la scène. C'est horrible de perdre le controle de son corps.
Je me lève du siège, elle m'attrape avec sa bouche et entame une fellation. Au bout de quelques minutes, il la relève et la penche en avant sur le bureau en verre. Les stylos, papiers, clavier tombent à terre. Il lui retire son tring sans objection, lui attrape les cheveux pour lui relever la tête et lui enfonce son sexe.
Le bureau se déplace dans la pièce à chaque coup de reins. Intérieurement, je rage d'avoir a subir ça et de ne pas pouvoir interagir. Je me promets de ne plus boire. Pendant ce temps, l'autre continue ces va et viens.
Elle gémit et dis.
" J'aime que l'on me prenne par derrière et que l'on m'enfonce en même temps un sexetoy dans ma petite chatte "
L'autre obsédé fait un trois cent soixante degré du regard pour checrher un objet qui pourrait faire l'affaire.
Tout en continuant à jouer du Tam Tam sur ces fesses, il récupère la bouteille de schweppes et lui montre.
" T'es gentil mais ça va peut être faire un peu gros, mais j'en ai toujours un dans mon sac "
Jambes tendus, il baisse son bras jusqu'à atteindre le sac de la Nympho. Sans perturber le rythme, et avec grande difficulté, il arrive au bout de plusieurs essais à lever le sac du bout des doigts et le pose sur le bureau pour qu'elle en sorte le joujou.
Elle en sort un engin de bonne taille, pouvant effrayer de nombreuses gamines, puis elle prend les choses en main. Elle se relève et se met à quatre pattes sur le sol.
" Prends moi et enfonce la moi, je m'occupe du gode "
Je m'excécute ou plutôt, l'autre s'excécute. Car je suis toujours bouleversé par cette situation.
Il s'introduit en elle, pendant qu'elle se carresse avec les mains. Je comprends lorsque les gémissements se font de plus en plus fort qu'elle a réussit à s'enfoncer le nouveau copain à piles.
Je ne controle rien, mais la situation est tellement excitante que je finis par l'accepeter et m'abandonner en elle.
Je me reboutonne, elle range son string dans son sac à main et me fais un bisous. Elle me remercie, je lui répond que c'est l'autre qu'il faut remercier et que je n'y suis pour rien. Puis elle quitte l'agence, nue sous sa robe.
Le bureau est en bordel. Je ramasse et range un peu car c'est le bureau de ma collégue de tarvail.
Si vous souffrez de dédoublement de personnalité et perdez le controle de votre corps. Buvez modérement.