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Brèves de vie

16 juillet 2017

LE BILLARD

Billard

Il est vingt et une heures lorsque les clients quittent l'agence, après avoir signé leur compromis de vente. Je me retrouve seul avec ma collègue. Elle travaille dans une autre agence, et c'est la deuxième fois seulement que je la vois.

Les cheveux chatains, une poitrine débordante couvert par un petit haut lycra bien moulant et surtout sans soutiens gorge. Des tétons qui pointent et qui poliment m'appellent. Une petite jupe noire courte, voir très courte. Un visage doux.
Je vais chercher une bouteille de gin et du Schweppes dans le frigo, pour fêter notre première collaboration. Nous trinquons, et nous nous racontons notre parcours et notre vie.

Une bouteille de Gin plus tard. Nous dérivons lentement, mais surement vers une conversation érotique, lorsque soudain, elle me dit.

" L'autre jour. Il était minuit, on rentrait d'un restaurant avec mon mec, il a ouvert une porte d'entrée d'immeuble, il m'a fait entrer et ensuite m'a baisé dans le hall "

" Ouais, ouais, ouais, je vois "

" Mais, ce que je préfère le plus, c'est le coup du billard "

" A ouais, c'est quoi ça "

" ben, je suis allongé sur le billard, sur le dos. Pendant qu'un mec me prend, tous les autres sont autour de moi, et se branlent pendant que je les carresse "

" Si je comprends tout bien, tu as une nature assez ouverte sur le sexe ? "

" On peut dire ça comme ça "

Je décide de couper court à la discussion, et lui demande de finir son verre et de partir.

Non je déconne,

Je sais que c'est mal, c'est pas bien, mais j'ai bu et j'ai déja dépassé la dose d'alcool iréversible. Le dédoublement de personnalité s'opére. A partir de ce moment, ce n'est plus moi qui tiends les rênes de mon corps, c'est l'autre. J'essai de lutter et de reprendre le contrôle de mes actes, mais impossible.

Il se rapproche d'elle, et attrape le bout de tissu en lycra pour lui découvri sa superbe poitrine. Au même moment, elle écarte ses cuisses en laissant apparâitre un string blanc dans la fente de ses deux lèvres.

J'essai de le résonner mais rien n'y fait. Il pose ses mains et sa bouche sur les seins tandis qu'elle essai de le déboutonner. J'assiste impuissant à la scène. C'est horrible de perdre le controle de son corps.

Je me lève du siège, elle m'attrape avec sa bouche et entame une fellation. Au bout de quelques minutes, il la relève et la penche en avant sur le bureau en verre. Les stylos, papiers, clavier tombent à terre. Il lui retire son tring sans objection, lui attrape les cheveux pour lui relever la tête et lui enfonce son sexe.

Le bureau se déplace dans la pièce à chaque coup de reins. Intérieurement, je rage d'avoir a subir ça et de ne pas pouvoir interagir. Je me promets de ne plus boire. Pendant ce temps, l'autre continue ces va et viens.

Elle gémit et dis.

" J'aime que l'on me prenne par derrière et que l'on m'enfonce en même temps un sexetoy dans ma petite chatte "

L'autre obsédé fait un trois cent soixante degré du regard pour checrher un objet qui pourrait faire l'affaire.

Tout en continuant à jouer du Tam Tam sur ces fesses, il récupère la bouteille de schweppes et lui montre.

" T'es gentil mais ça va peut être faire un peu gros, mais j'en ai toujours un dans mon sac "

Jambes tendus, il baisse son bras jusqu'à atteindre le sac de la Nympho. Sans perturber le rythme, et avec grande difficulté, il arrive au bout de plusieurs essais à lever le sac du bout des doigts et le pose sur le bureau pour qu'elle en sorte le joujou.

Elle en sort un engin de bonne taille, pouvant effrayer de nombreuses gamines, puis elle prend les choses en main. Elle se relève et se met à quatre pattes sur le sol.

" Prends moi et enfonce la moi, je m'occupe du gode "

Je m'excécute ou plutôt, l'autre s'excécute. Car je suis toujours bouleversé par cette situation.

Il s'introduit en elle, pendant qu'elle se carresse avec les mains. Je comprends lorsque les gémissements se font de plus en plus fort qu'elle a réussit à s'enfoncer le nouveau copain à piles.

Je ne controle rien, mais la situation est tellement excitante que je finis par l'accepeter et m'abandonner en elle.

Je me reboutonne, elle range son string dans son sac à main et me fais un bisous. Elle me remercie, je lui répond que c'est l'autre qu'il faut remercier et que je n'y suis pour rien. Puis elle quitte l'agence, nue sous sa robe.

Le bureau est en bordel. Je ramasse et range un peu car c'est le bureau de ma collégue de tarvail.

Si vous souffrez de dédoublement de personnalité et perdez le controle de votre corps. Buvez modérement.

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9 juillet 2017

PREMIER JOB

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Un mardi pas comme les autres, un de mes meilleurs amis et moi même venons de décrocher notre premier boulot le même jour.

Nous décidons de fêter ça, le soir même.

Il est vingt heures, nous sommes heureux et en pleine forme pour s’engager dans la vie nocturne parisienne.

Nous prenons ma voiture et décidons de faire la tournée de nos endroits préférés. Nous commençons par le Pub « La route des épices » avec du rhum, puis virée mexicaine du côté de Montparnasse à coup de Mescal et de téquila. Ensuite direction le « City Rock Café » près des Champs Elysée à la Budweiser, puis un petit tour chez "Lili la Tigresse" et le dépanneur à Pigale, Puis le trou noir.

Il est dix heures du matin lorsque Philippe me réveille, j’ouvre les yeux, j’ai mal à la tête, je suis chez moi, je reconnais les meubles et la décoration de mon appartement. Je prends peur en voyant le visage de mon pote déformé par l’alcool, puis je réalise que l’on est mercredi et que je suis censé être au bureau depuis neuve heure. Je fonce dans la salle de bains et prend peur une deuxième fois en voyant mes yeux dans le miroir. On court dans tous les sens pour se préparer tout en essayant de se rappeler la fin de soirée. Impossible de retrouver les endroits où l’on a été. Seul quelques brides d’images me reviennent à l’esprit tels que, une descente d’escalier, la forme ronde d’un bar, des filles sur des podiums, une porte de boite de nuit sans enseigne, des visages, etc…

On en déduit que l’on a été drogué à notre insu par des personnes mal intentionnées. N’ayant mal nul part, on se rassure. Personne à profité de nous.

Nous descendons dans la rue. Mon pote file dans le métro tandis que j’entame un parcours du combattant pour retrouver ma voiture. Au bout de vingt minutes, je finis par la retrouver devant un arrêt de bus, les deux roues de droites sur le trottoir. Je monte dedans et démarre en trombe. J’aperçois deux contraventions sur le pare brise que j’expulse en mettant en marche les essuie glace.

J’arrive à onze heures. Je me gare devant les locaux de ma nouvelle société. Je travaille au premier, dans un grand bureau d’étude où nous sommes une vingtaine de techniciens. A l’époque, on pouvait verrouiller les portières de voiture en appuyant sur le loquet de l’intérieur et en la claquant, ce que je fais.

Je monte et entre dans la grande pièce en gardant mes lunettes de soleil. Je me justifie en prétextant une conjonctivite aigu et soudaine. Peu convaincant, je fonce et m’installe sur ma planche à dessin en gardant mes lunettes.

J’ai toujours aussi mal à la tête. Trente minutes se passent, lorsqu’un de mes collègues, proche de la fenêtre, demande à l’ensemble des personnes à qui appartient la Renault 5 Alpine Turbo. Je lève la main timidement et dis.

" Elle est mal garée ? "

" Non, c’est juste que le moteur tourne au ralenti "

Je m’approche de la fenêtre ainsi que mes vingt collègues. Effectivement le moteur tourne. Je prends un air très surpris tout en fouillant mes poches pour y chercher mes clefs et dis.

" C’est bizarre ça " sur un ton intérogatif qui voulait dire, qui a bien pu démarrer ma bagnole dans mon dos ?.

Je descends dans la rue, et m’approche de la vitre passager, J’aperçois les clefs sur le contact. Je lève les yeux et les regarde tous à la fenêtre. Je fais des gestes avec mes mains tendant de leur expliquer que je ne comprends rien à ce qui se passe. J’essai d’ouvrir la portière mais elle verrouillée. Je prends la décision de fracturer le hayon arrière. Je sais qu’en mettant un coup assez fort sur le bouton avec la paume de la main, on peut l’enfoncer et l’ouvrir. Je m’exécute et ouvre le hayon.

Je rentre par le coffre, traverse la banquette arrière en direction de l’avant, m’assoie dans le siège conducteur et coupe le moteur. Je reste quelques secondes avant de sortir en réfléchissant à ce que je vais bien pouvoir dire pour justifier ça. Aucune idée rationnelle me vient à l’esprit.

Je sors, regarde mes collègues.

“ Je ne comprends pas ce qui s’est passé, c’est la première fois que ça m’arrive "

Dès fois que certains penseraient que c’est dans mes habitudes.

Je remonte et finis ma journée tant bien que mal.

Le soir je retrouve mon Filou pour lui raconter mon histoire et lui demande comment c’est passé sa journée.

" Je suis arrivé à onze heures dix et j’ai immédiatement été convoqué par la directrice dans son bureau, j’avais un mal de tête et une envie de vomir. Je rentre dans son bureau et m’assoit. Elle me demande pourquoi j’arrive à cette heure là ?. Je lui réponds que j’ai du mangé une saleté hier, et que j’ai été malade toute la nuit, mais bien sure, elle ne me croit pas. Mon envie de vomir se fait de plus en plus pressante et je sens que ça monte dans ma gorge. Sur ma droite, une plante est placé à cinquante centimètres. Je sens que je ne vais pas arriver à me retenir. Elle me fait la moral en m’expliquant que la société à une image a tenir. Je lui promets que c'est la première et dernière fois. Elle se léve, me tourne le dos, regarde à travers la fenêtre et insiste en me disant qu'elle ne tolèrera plus un seul écart de conduite. Mon envie de vomir et tellement forte que je profite qu’elle soit de dos pour me pencher et vomir tout ce que j’ai dans la plante à côté de moi. Le bruit me trahie, le filet de bave aussi "

Connaissant mon Filou, ce genre d'action ne me surprends pas du tout.

" Et alors ? "

" Ben, ça été mon premier et mon dernier jour dans cette entreprise "

Evitez de fêter votre nouveau job le soir même, si vous travaillez le lendemain.

4 juillet 2017

LE SCHTROUMPF BLEU

Capture d’écran 2017-07-10 à 17

Nous quittons Monaco pour rentrer sur Valbonne. Il est quatre heures du matin. Dans la montée en direction de l'autoroute, j'aperçois au loin un schtroumpf bleu agitant une torche blanche au milieu de la route. Je cherche dans ma mémoire d'enfant, le nom de ce schtroumpf dans la BD, sans trouver. En me rapprochant, je découvre qu'ils sont plusieurs. Une quinzaine de schtroumpfs courent dans tous les sens et sur la droite, sont garées plusieurs voitures de Schtroumphs. Que fait une bande de schtroumpfs au beau milieu de la route ?

L'un d'eux me fait signe de m'arrêter.

" Bonjour, Gendarmerie nationale, pouvez vous couper le moteur, nous allons procéder à un test d'alcoolémie "

Et là ça me revient, des schtroumpfs gendarmes.

" Avez vous consommer de l'alcool ? "

Il ne me laisse pas le temps de répondre et me dit " Apparemment oui "

Il me tend l'appareil et me demande de souffler. Je m'exécute.

Le truc vire positif. Il me dit de me garer plus loin sur le parking et me demande de le suivre dans la camionnette de schtroumpf, bleue aussi, pour souffler dans une nouvelle machine avec plein de lumières.

J'obtiens un 8,9/10, la note est très bonne mais uniquement sur un bulletin scolaire mais dans le moment prèsent assez défavorable pour moi. Je pars avec un gros handicape dans la négociation.

" Zéro quatre vingt neuf grammes ", m'annonce t'il.

" Ce qui vous fait presque un gramme huit car il faut doubler ce chiffre "

Je le regarde d’un air très étonné, comme si l’on m’avait fait boire à mon insu.

Il me demande de rester dans la voiture et me dit qu’il revient dans vingt minutes pour me faire ressouffler dans le bidule pour vérifier si mon taux monte ou descend.

L’histoire se présente assez mal. Nous attendons dans la voiture. Je réfléchi, comme je peux. Après avoir éliminées plusieurs idées qui au final auraient amplifié la situation. J'en retiens qu'une, je vais tenter de discuter avec lui, échanger, voir rigoler, en espérant qu’il soit un peu tolérant avec moi. Je descends du véhicule et commence à chercher mon schtroumpf au milieu de la mêlée.

Je l’aperçois, il est de nouveau au milieu de la route, attendant un prochain véhicule à contrôler. La torche à la main, il la balance de gauche à droite bras tendu pour signalerau aux véhicules de se rabattre sur la droite. La torche lui échappe des mains et tombe à droite de la route dans un fossé. C’est l’occasion pour moi de proposer mes services. Je marche dans sa direction et m’arrête derrière lui légèrement sur le côté. J’encre mes pieds dans le sol car ça bouge un peu, prépare ma phrase dans tête. (Voulez vous que je vous aide à la chercher). Assez simple comme phrase.

Je me lance. " Sieu lgent voulvoul quej cherch lape tombe ? "

" Quoi ? " me répond’il.

" Non, rin jtourn dan voitur "

" Oui, c’est préférable "

Premier essai ratée. Je retourne à ma voiture, une quinzaine de véhicules est garée sur le parking, je discute avec les chauffeurs pour comparer nos taux et commence à paniquer car je me rends compte que je suis le champion toutes catégories de la soirée.

A ma grande surprise, mon schtroumpf me laisse tranquille jusqu’à six heures trente. Il vient vers moi et me dit.

" J’ai laissé passer le plus de temps possible entre les deux contrôles, mais nous devons rentrer à la brigade, je dois vous refaire souffler maintenant ".

Je le remercie et le suis, je monte dans la camionnette avec lui. Il me retend le tuyau, je fais un signe de croix et souffle.

La machine indique, Zéro soixante neuf gramme.

Je le regarde d’un air surpris du genre « je ne comprends pas ce qu’il se passe » ou « vous êtes sure qu’elle marche la machine ?»

" Sais grave ? " lui dis je.

" Assez, retrait de permis de 6 mois, perte de points, tribunal, et grosse amende "

La mine décomposée je mesure les conséquences de tout ça.

Mon gendarme regarde son coéquipier à l’avant du fourgon et lui dit.

" Bon, on lui met combien ? "

" Allez, Zéro trente huit grammes "

" Comme ça, vous ne perdez que six points sur votre permis et quatre vingt dix euros d’amende "

Je ne sais plus quoi dire, c'est donc possible, il y a des gendarmes qui sont retés humains. Je finis par le remercier.

Il demande à ma femme de souffler à son tour pour savoir si elle peut conduire.

Zéro cinquante neuf.

Il me regarde, " Il est assuré votre 4 X 4 ? "

" Oui, bien sure "

" Je vais le conduire et vous ramener jusqu’à la brigade à Nice Lingostières"

La chance me sourit, tous les autres chauffeurs ont étés embarqués dans les fourgons de gendarmerie et ils ne pourront récupérer leur véhicule que demain.

Il monte côté conducteur, je monte à côté et ma femme s’écroule sur la banquette arrière.

Sur l’autoroute, je le remercie à nouveau et cherche à savoir pourquoi il agit comme ça.

" Je n’ai pas signé dans la gendarmerie pour ça et encore moins de vous traiter comme des délinquants, alors qu’il y a des choses plus grave et plus importantes à faire "

" Entièrement d’accord avec vous"

" Pouvez vous payer l’amende de 90 euros? "

" Je n’ai qu’une carte de crédit sur moi ? "

" On prend pas la carte, Je vous dépose au distributeur avant, vous retirez l’argent et payez l'amende en arrivant à la brigade »

Je n’en reviens pas de la chance que j’ai d’être tombé sur lui, alors qu’il y avait au moins quinze schtroumpfs.

Je retire de l’argent et nous nous garons dans le parking de la maison des schtroumpfs.

Il m’invite à me suivre dans les bureaux. Il donne mon permis de conduire à la personne de garde et je règle mon amende. Je croise mes copains d eroute bourrés qui filent directement en cellule de dégrisement sans passer par la case parking. Je m’attends à devoir les suivre, mais il n’en est rien. Mon nouveau copain meilleur ami préféré me dit que son service est fini, qu’il doit rentrer et m’invite à aller dormir dans mon 4 X 4 pour revenir chercher mon permis vers les neuf heures du matin.

Je regarde les gars partirent dans les cellules et me dit que décidément j’ai une bonne étoile. Je retourne à mon véhicule. Monte dedans, regarde à l’arrière ma femme dormir.

Je finis par m’endormir.

Ne buvez pas si vous devez prendre le volant.

3 juillet 2017

CLUB MED

Capture d’écran 2017-07-10 à 17

J'ai réservé une semaine pour mon fils de 10 ans et moi au club Med familial de Turquie, il existe aussi celui pour la fête et les célibataires, mais le Club Med a décrété que mon fils était trop jeune. Je n'ai donc pas pu y aller alors que mon fils était tout à fait prêt et apte à venir avec moi. Club familial, je me dis que ça va être un peu plus compliqué que prévue.

Départ Marseille. A l'aéroport, je fais la queue avec toutes les familles dans la file en partance du truc familial.

Je me dis, ils le font exprès, dans la file juste à côté, départ pour Bamboula Land et j'aperçois un banc de femmes célibataires. Mon fils me tien la main affectueusement, du genre "t'inquiètes pas papa". Bon, je me rassure en me disant que j'aurai pu me retrouver dans un club gay.

Premier soir. Il est minuit lorsque je dis à mon fils qu'il doit être raisonnable et donc rentrer faire dodo au bungalow. Il s'exécute en ronchonnant.

Je suis dans la boite de nuit à ciel ouvert situé sur la page. Je déguste au bar une Pina Colada tout en regardant les personnes danser autour de moi. C'est la première soirée et je ne connais personne.

Je repère deux filles seules sur la piste qui me jette des coups d'œil furtifs, dont une aux cheveux châtains d'environ trente six ans . L'autre devait avoir vingt ans. Elle a de belles formes, et dégage quelque chose d'excitant. Je vais la rejoindre pour danser, tourne autour d'elle tel un guépard autour de sa proie. La musique type latino très appropriée nous rapproche. Nous dansons sensuellement, puis nous allons prendre un verre au bar. Nous discutons pendant deux heures où elle me raconte que c'est une habituée des Club Med et qu'elle les connait tous.

Je lui propose d'aller se baigner, nous allons vers le ponton, je me déshabille et voyant qu'elle garde son string.

" Ma chérie, les bains de minuit, c'est toujours nu "

Elle enlève le bas sans rien dire et viens me rejoindre dans l'eau. Nos corps se touchent et se frottent. Nous nageons vers le large où flotte un ilot artificiel. Nous nous accrochons, elle est si proche de moi que je sens ses seins. Très ambigu comme situation mais bon j'adore.

Nous finissons par nous embrasser. Nos jambes se touchent et s'entremêlent dans l'eau. Je sens monter en moi une envie de lui faire l'amour.

Nous revenons vers le rivage ou la plage est remplie de transat. Nous découvrons que les night clubeurs en ont profités pour nous piquer nos affaires posées sur le ponton. Nous voila nus, seuls sur la plage.

Nous nous installons sur un des deux cent transats, et nous nous enlaçons. la situation m'excite. Elle se met sur les coudes et s'offre à moi. Sur les genoux, je me dresse et la pénétre.

" Pince moi les seins "

" Plus fort "

" Encore plus fort et j'ai envie que tu me mordes dans le cou " J'ai finit par comprendre qu'elle aimait qu'on lui fasse mal.

" Je veux que tu passes une main autour de mon cou et que tu sers fort "

Maladroitement, je m'exécute. " Plus fort, tu peux serrer, j'adore ça et continue à me pincer les seins très fort " Je n'ose pas, j'ai peur de lui faire mal, mais finalement c'est exactement ce qu'elle veut.

Plus je lui sert le coup et lui pince les seins, plus elle gémit. Je comprends qu'elle aime vraiment ça et que cela doit déclencher chez elle excitation et jouissance. Je donne des coups de reins de plus en plus violent et les gémissements se font de plus en plus fort.

Un homme approche et nous balance sa lampe torche dans le visage.

" Tout va bien Madame ? "

Merde, Le vigil de la sécurité du club nous éclaire et nous regarde. La scène ne le choque pas plus que ça.

J'attends qu'elle le rassure, car dans cette position ma parole n'a pas eu une grande valeur " Oui, tout va bien " dit elle.

Il s'éloigne tranquillement de nous en se retournant régulièrement pour profiter du cours sexuel.

Nous décidons de finir ce que nous avons commencé dans sa chambre pour être plus tranquille. Nous traversons en courant complétement nus tout le camp pour aller dans sa case. Ni une, ni deux, ni trois d'abord, nous finissons ce que nous avons commencé.

Il est cinq du matin. je lui fais un bisou et rentre nu. Je récupère en route une serviette qui traine, me la passe autour de la taille et file en direction de mon bungalow. Pour ne pas réveiller mon fils, j'entreprends une arrivée sur la pointe des pieds, pose délicatement la main sur la poignée de la porte, tiens ma serviette avec l'autre. La porte grince légèrement. Je pousse et passe la tête.

Mon fils est assis en tailleur sur son lit face à la porte, en position Bouddha, ce qui peut être cool, mais les bras croisés, ce qui l'est déjà un peu moins. Il me regarde apparaitre dans le champ de l'ouverture.

" C'est à cette heure là que tu rentres, je me suis inquiété, je me suis réveillé en pleine nuit et que tu n'étais pas là "

je n’arrive pas à en placer une.

" J'ai plusieurs fois été au bar, dans la boite et que sur la plage pour te chercher, je me suis vraiment très inquiété "

“ Dis-moi, tu as 10 ans et je suis un adulte alors tu n'as pas à te faire de soucis "

" Oui, mais tu m'as dis que tu rentrais maximum une heure après "

" Peut être mais je n’ai pas vu le temps passer et je croyais que tu dormirais "

Je suis fatigué et je n'ai qu'une envie, c'est d'aller me coucher et de dormir, et mon fils de dix ans me fait la moral et m'engeule comme si, c'était lui la personne responsable.

Mais ou va le monde ?

27 juin 2017

LA BLONDE LA BRUNE ET LE TRUAND

Blonde et Brune

Le jour de l’arrivée du beaujolais nouveau. Un jeudi. On a commencé à déboucher les premières bouteilles vers à 17 h l'agence immobilière où je travaille. Pour fêter les ventes du mois et oublier celles qui ont cassés. 

Une heure du matin.  Nous sommes à l’Annexe. Une boîte de nuit situé sur le port de saint Laurent du var. je suis accompagné de la secrétaire et d’une nouvelle négociatrice embauchée la semaine dernière. La secrétaire de l’agence est une belle brune fine, déçu par son mari qui la trompe. Petite poitrine mais naturelle. Je couche avec elle depuis trois semaines. Nous faisons souvent l’amour dans les différentes pièces de l’agence le soir afin de tester la solidité des bureaux et de la performance du photocopieur. Tout le monde l'ignore, enfin c'est ce que je crois.

La nouvelle est blonde, plus grande, plus femme. Je la connais peu car on n’a pas eu beaucoup l’occasion de discuter seul depuis son arrivée, mais je sens que l’alcool la désinhibe au fil de la soirée. Nous dansons tous les trois sur la piste de danse ouverte sur la plage. La musique est nul, mais le Gin Tonic est bon. Du regard, je fais savoir à la secrétaire « Qu’est ce que tu vas prendre ce soir ». Son sourire en réponse me fait comprendre qu’elle a réussit à lire dans mes yeux.

Je leurs propose d’aller chercher 3 verres d’anesthésiants au bar et de les retrouver à notre table. Une jeune Barmaid croyant avoir gagné le concours "Miss Port Saint Laurent" me pose les verres sur le comptoir. Elle est fortement désagréable. Du coup, je me réjouis d’être arrivé en boite avec mon casse croute. Je prends les 3 verres dans mes mains et me retourne pour chercher notre table. La boite est rempli d’excités qui bougent, qui sautent et même qui vomissent. Ou sont-elles ? Je bouge la tête tel un chien sur une plage arrière de voiture quand finalement, j’aperçois de dos la chevelure brune de ma secrétaire en train d'embrasser quelqu’un. On n’est ni marié, ni divorcé, juste amant mais j’ai du mal à accepter qu’elle puisse faire ça en ma présence. Ni une, ni deux, j’attaque un slalom spécial entre entre les danseurs, j’évite les coups de coudes, coups de têtes, et coups de hanches. Attention, vomit, je glisse mais me récupère en appuyant mon coude sur les seins d’une fille qui me regarde en rigolant. Les verres que je porte sont déjà à moitié vides. Je stop mon slalom à 5 mètres d’elle. Ce n’est pas un homme qu’elle embrasse, c’est la nouvelle négociatrice.

" Whoua " Du coup, je réalise que je ne suis pas venu avec un seul, mais deux casses croutes.

" Alors les filles, on s’amuse bien, vous aimez la musique au moins ? "

Elles éloignent leurs visages l’une de l’autre et me gratifient tous les deux d’un joli sourire.

" Ne vous arrêtez pas pour moi les filles, suis pas jaloux "

Debout, mes trois verres à la main, je réfléchis à un plan d’attaque pour ne pas tout gâcher. J’analyse la situation. Je couche avec la secrétaire qui embrasse la nouvelle.

Action, réaction, je viens m’asseoir entre les deux, pose les verres où se qu’il en reste rapidement sur la petite table. Je me retourne vers ma brune et l’embrasse jusqu’à ce qu’elle tape sur le canapé deux fois avec la main pour me signifier qu’elle n’a plus d’oxygène comme le font les boxeurs pour jeter l’éponge. Je me retourne fièrement vers ma blonde en lui disant du regard « Moi aussi ma chérie, je l’embrasse » Sous entendu que par déduction mathématique, elle a aussi le droit de m’embrasser. Mais rien ne vient. Nous discutons de l’ambiance au travail comme si, rien ne c’était passé.

Il est deux heure passé, la nouvelle nous propose de boire un dernier verre chez elle. Avant même qu’elle est finit sa phrase, j’ai gobé mon Gin Tonic, je suis debout et j’ai déjà mis ma veste.

Nous voilà dans Polo de la blonde, je me suis proposé de monter derrière, ce qui n’est pas dans mes habitudes, mais dans le cas présent, ma position peut être stratégique. Sur la route, passant une main de chaque côté des appuis têtes, je leurs caresse délicatement les cheveux. Pas plus de réaction, la blonde conduit et la brune tient encore son verre qu’elle a embarqué en sortant de la boite.

Nous arrivons au Domaine du Loup, grande résidence au milieu d’un parc. Le gardien la reconnaît et lui ouvre la barrière. Nous nous garons et montons au huitième étage de l’immeuble La Siagne. Ma secrétaire s’assoit au bord du canapé et j’en profite pour me coller à elle. La blonde s’installe au sol sur le parquet et roule un joint. Pourquoi pas. Je me dis que ça ne va pas être simple car à aucun moment la blonde a ouvert une porte avec moi. D’ici qu’elles partent toutes les deux dans la chambre et me laisse sur le carreau, y a pas loin.

Je change de tactique, je mise tout sur la brune ou j’ai des garanties. Je commence par l’embrasser et poser ma main sur ses seins par dessus le chemisier, puis je déboutonne deux boutons. Pas de réaction négative, donc je continue. Je jette un œil à la nouvelle qui ne peux s’empêcher de nous regarder.

Je glisse ma main sous la jupe de ma compagne, les cuisses s’écartent comme par magie, je remonte jusqu’à sentir son string que je déplace légèrement. J’enfonce mes doigts. Sa tête est renversée en arrière sur le dossier du canapé et je commence à l’entendre gémir. Pendant ce temps, l’autre allume le pétard, rampe jusqu’à nous, puis me passe le joint. Sans me regarder, elle arrache les boutons de braguette, sort mon sexe et l’avale. Sa main gauche disparaît sous sa jupe entre ses jambes pendant qu’elle me suce. Son autre main à rejoint la mienne dans la chatte de ma brune.

Lendemain neuve heures à l’agence, la nuit a été courte et le repos pas au rendez vous. J’arrive le dernier munit de lunettes de soleil. Je ne suis pas le seul, les deux filles en portent aussi. Nous ne nous adressons pas la parole. Juste un petit "Bonjour" du coin des lèvres, ce qui a pour conséquence d’éveiller des soupçons chez notre patronne qui en temps normal voit déjà le mal partout.

Elle me convoque dans son bureau.

" Qu’est ce qu’il se passe avec les filles ? "

" Mais rien de spécial "

" Pourquoi vous faites tous cette tête ? "

" Je suis un peu mal en point, j’ai un peu abusé hier sur l’alcool, mais rien de plus "

Le ton monte

" Tu couches avec la secrétaire ? "

" Mais pas du tout, qu’est ce que tu t’imagines ? "

" Te fou pas de moi, elle me l’a dit la semaine dernière "

La salope, on avait convenu de ne rien dire.

" T’as fait quoi hier soir, tu t’es tapé la nouvelle en laissant seule la secrétaire ? "

J’avais envie de lui dire, que hier soir la gentille secrétaire a un peu brouter la chatte de la nouvelle hier soir pendant que cette dernière me suçait.

" Mais tu me prends pour qui patronne ? "

En disant cela, je savais que j’avais brulé ma dernière carte. Elle qui me connaissait par cœur depuis trois ans.

" Je le savais, j’en était sure, tu l'as baisé et l’autre, la pauvre, elle doit le sentir, c’est pour ça qu’elle est mal "

Bilan :  Un survivant : La gentille secrétaire brune

             Un blessé grave : Moi

             Un mort : La nouvelle a été virée en fin de matinée.

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27 juin 2017

TALONS AIGUILLES

Talons aiguilles

Cela fait trois semaines que nous nous fréquentons. C’est une poupée blonde à forte poitrine, assez imposante au regard de son corps. Ce soir là, elle est habillé d'une petite jupe noire, talons aiguilles de vingt centimètres et jolie décolleté assez imposant au cas où certains hommes auraient une mauvaise vue.

Première sortie test en boite de nuit tous les deux. Alcool, chaleur, jalousie, dérapages et engeulades ont raisons de nous assez rapidement. Nous quittons le HIGHT CLUB de Nice à quatre heures du matin. Elle enfile un petit manteau noir et sert sa ceinture autour de la taille. Nous roulons sur le bord de mer dans le Pathinder Nissan, plus petit qu’un Humer mais l’avantage est que l’on n’est pas collé à l’avant, et ça me convient. On ne se parle pas jusqu’à atteindre la nationale 7 quand tout à coup, elle ouvre la bouche en me fixant avec un regard noir.

" Je veux que l’on parle "

" Nous sommes alcoolisés, ça n’a aucun sens de parler maintenant "

Je n’ai jamais compris pourquoi les femmes veulent toujours entamer une conversation pour régler un problème de couple sous l’effet de l’alcool.

Elle insiste, mais je suis fatigué et énervé. Je n’ai qu’une hâte, c’est de rentrer me coucher.

" Non, on ne discutera pas maintenant, ni en rentrant, je te dépose chez toi, je veux passer la nuit seul, on en parlera demain "

A partir de ce moment là, les choses vont très vite. Je roule en centre ville de Cagnes sur Mer à soixante kilomètres heure, lorsque la portière passager s'ouvre.

" Si tu me déposes chez moi, je saute de la voiture "

" Referme cette porte et arrête tes conneries, on pourrait se faire arrêter par les flics "

" J’en ai rien à foutre des flics, je te jure que je vais sauter "

Deux voitures sont derrière moi.

" Je n’ai pas envie de dormir avec toi ce soir, je veux rester seul, j’ai le droit quand même "

Je la vois sortir la tête de la voiture et attraper le haut de la portière grande ouverte pour finir par se suspendre dans le vide. Les jambes pliées pour ne pas toucher le sol. Je me couche sur le siége passager et arrive à agripper avec ma main droite la ceinture de son manteau. Ma main gauche sur le volant, je tente de maintenir la voiture droite sans me rapprocher trop des véhicules garés sur le côté. Allongé, la visibilité est très mauvaise, je vois à peine la route. J’essai de la tirer à l'intérieur, mais rien n’y fait et je sens que la ceinture ne va pas tenir.

Je maintiens la vitesse à cause des véhicules qui me suivent qui au passage me font des appels de phares comme si je ne m’étais pas rendu compte qu’une passagère était suspendu à ma portière.

" Je ne veux pas que tu me ramènes chez moi " crie t’elle.

" Remonte dans la voiture, on va se faire arrêter par les flics et en plus si tu tombes, on va croire que je t’ai jeté de la bagnole et j’irai en tôle "

" Rien à foutre "

Mon corps incliné à cent vingt degré commence à fatigué. Elle aussi, ces jambes pliées commencent à se détendre jusqu’à toucher le bitume. Sous ces talons aiguilles, la petite plaque métallique fleurte avec le sol et des étincelles commencent à apparaitre. On se croirait dans une usine métallurgique.

Pour résumé. Je roule à cinquante kilomètres heure dans un quatre quatre sur la nationale 7 en plein centre ville, suivi par deux véhicules, ma blonde a gros seins qui est suspendu à la portière hurle dans la rue à qui veut l’entendre, et ses talons crées une gerbe d'étincelles en pleine nuit. Tout cela accompagné d’une bonne dose d’alcool. La scène est jolie mais légèrement dangereuse.

La ceinture commence à glisser de mes mains, je sens que je la perds.

" Putin, t’as gagné, remonte dans la voiture, je te ramène chez moi, mais on ne dort pas ensemble "

" Je veux dormir avec toi dans ton lit "

" Bon ok, ok, on dort ensemble mais remonte "

Un ultime effort lui permet de plier ses jambes et de les positionner dans la voiture. Longeant le montant de la portière, elle finit par rentrer dans l’habitacle et s’assoir sur le siège.

Elle referme la portière. Je ne veux même pas lui adresser la parole ni même lui jeter un regard. Je suis très énervé après elle et lui en veut de nous avoir fait prendre autant de risques pour rien. Nous roulons pour rentrer et bifurquons pour prendre la direction de Valbonne. Une de ces copines l’appelle pour prendre des nouvelles, car elle nous a vu partir fâché.

J’en profite pour téléphoner à une autre de ces copines qui m’apprécie pour lui raconter la scène.

Le ton monte dans la voiture et la dispute recommence en vidéo conférence avec nos 2 interlocutrices en ligne. Nous traversons les bois de Valbonne et je roule plus vite qu’en ville.

" Si tu continus à râler, je te ramène chez toi "

Pour éviter de renouveler l’expérience précédente du saut à pleine vitesse, je décide de stopper le véhicule en pleine forêt.

" Oui, je sais ce que tu as en tête, tu vas me planter chez toi et aller te coucher seul "

Sur cette fin de phrase, elle jette le téléphone sur le plancher, ouvre la portière et saute dans les bois. Je ramasse le téléphone, le porte à mon oreille droite car je suis déjà en communication avec mon oreille gauche. Eclairé par les phares, blasé, je regarde mon pitbull marcher sur le bas côté de la route. La démarche est douloureuse et inexacte, les responsables sont l’alcool et deux centimètres de talons manquants usés par le bitume de la route. Des voix en stéréo désaccordées me percent les tympans. Je me demande ce que je fais là au milieu d’une forêt, deux téléphones dans les oreilles écoutant des voix de femmes, que je connais à peine tout en regardant s’éloignée ma blonde qui fait des grands gestes. Je regarde l’horloge, il est cinq heure moins le quart, l’environnement est calme mais je suis fatigué moralement et physiquement.

Je fais des bisous aux 2 commères tout en les rassurant et je raccroche. Je me pose trois minutes en essayant de comprendre l’origine de tout cela sans arriver à trouver les vraies raisons.

Je passe la marche avant et accélère doucement en priant saint christophe pour ne pas croiser la police. Je roule cent mètres, deux cents, puis cinq, pas de gros seins à l’horizon. J’accélère et me remets en mode panique. J’aperçois un chemin de terre sur la droite mais je n’imagine pas une seconde qu’elle ai pu l’emprunter, je continue un kilomètre. Toujours pas de poupée. J’angoisse, si je ne la retrouve pas à cette heure là, vêtue comme elle est, on va la prendre pour une pute au bord dans les bois. Je fais demi tour et prends le petit chemin de terre. Je roule, plein phare. Au point où j’en suis, je regarde même à droite et à gauche dès fois qu’elle eu envie de traversée la jungle. Plus rien ne m’étonne.

Quand tout à coup, j’aperçois ma petite prostituée en train de marcher et de pleurer, le manteau d’une main, les chaussures de l’autre. Me voilà rassurer, Je ne suis plus énervé après elle. Ma peur de la perdre à pris le dessus. Elle se retourne, le rimmel a coulé.

Plus, elles sont casse couille, plus je les aime.

27 juin 2017

L’OREILLER

L'oreiller

Je l'aime plus que tout. Elle me rend fou. Je vais peut-être même l'épouser un jour.

Nous posons nos verres de rouge. La bouteille est finie. L’alcool fait son effet. Je lui bande les yeux, l’aide à se lever et la dirige vers la chambre. Je lui souffle dans l'oreille " c'est ta soirée ma chérie "

Je la guide pour descendre les trois marches qui accèdent au temple. Elle est fragile et vulnérable dans le noir. Des bougies sont allumées partout dans la chambre, sur le rebord de la fenêtre, autour de la baignoire d'angle qui donne sur le lit, sur les tables de chevets et sur le sol. Elles éclairent la pièce. Debout, près du lit, je profite qu'elle ne me voit pas pour la caresser. Je lui touche différentes parties de son corps sans m’éterniser. Je veux la surprendre et l'exciter.

Je pose délicatement mes deux mains sur son visage. J'effleure ses lèvres avec ma bouche juste pour lui donner un peu plus envie. Elle tend son coup pour chercher ma bouche mais je m'éloigne. Elle entrouvre sa bouche et fait bouger naturellement sa langue de gauche à droite.

" Tu m'excites, les yeux bandés "

" Toi aussi, si tu continus je vais faire une flaque "

J'approche ma bouche de son lobe d'oreille et le taquine avec mes dents. Je fais tomber sa nuisette à ses pieds, laissant découvrir deux seins qui n’attendent que ma bouche. Je pose ma langue sur un téton et je tourne autour. Puis Je les tète pendant que mes mains montent et descendent entre ses cuisses.

Sur le lit, est posé deux foulards attachés aux angles. Je l’installe délicatement sur le dos tout en posant ma langue sur différentes parties de son corps. Chaque effleurement donne lieux à des contorsions. Je l’attache bras en croix aux liens. Elle est à ma merci. Ces jambes libres bougent de gauche à droite, s’écartent et se referment en guise d’appel. Mes mains frôlent ses cuisses. Je me rapproche de sa chatte. Je la sens excitée et j’adore ça. Je lui écarte les jambes et rapproche mon visage. Ma langue se pose sur sa cuisse droite et descend vers l’intérieur. Je remonte lentement son entre jambe. J’entends des soupirs de sa part.

Je tourne avec ma langue autour de son petit abricot sans toucher ses lèvres. Ces genoux se relèvent naturellement.

" Vas y, mange moi, j’en peux plus " Mais c’est pas suffisant, je veux qu’elle me supplie. Le bout de ma langue contourne ses lèvres, c’est un supplice. Elle aimerait prendre ma tête avec ses mains pour la plaquer contre elle, mais les liens tiennent bon. Ma langue se fait plus dur et je l’introduis entre ses lèvres.

" Ho oui, c’est bon chéri, je veux que tu me la mettes dans la bouche ". Quelques secondes plus tard, je suis assis sur elle, mon sexe entre ses seins. Je remonte vers son visage. Elle ouvre la bouche en cherchant la friandise. Je joue avec ses lèvres, puis mes mains plaquées sur le mur, je lui enfonce dans la gorge. Ses jambes s’écartent et ses mains essaient de m’attraper sans succès. Tout son corps se tortille. J’adore. Je me retire d’elle, lui soulève les genoux, lui positionne les jambes en l’air et je rapproche mon sexe du sien.

J’attrape mon sexe avec ma main et joue avec sa petite chatte. Je la frotte, je l’enfonce à peine et ressort.

" Prends-moi, enfonce la moi, je veux la sentir au fond de moi, viens "

" Doucement chérie, je sais pas si tu as mérité "

" Oui je mérite, prends moi "

Je la pénètre doucement, elle tente des coups de reins mais je métrise la pénétration. Je me retire d’elle en lui disant « Non, non non, c’est moi qui décide »

J’en peux plus, elle est toute chaude, elle m’excite. Sa chatte est toute mouillée alors je lui enfonce sauvagement laissant percer un petit cri sensuel. Ses deux jambes sur mes épaules, je soulève ses fesse à deux mains et je vais et viens à l’intérieur d’elle de plus en plus fort et profond. Mes coups de reins secs la font râler. Je ferme les yeux pour ressentir les mêmes choses qu'elle. J'adore. J'atteins un degré d'excitation rarissime.

J'ouvre les yeux pour voir son visage. Elle se mord délicatement les lèvres.

La pièce s'éclaire sur ma gauche. Je tourne la tête et je me demande pourquoi ce genre de choses m’arrive dans ces moments là.

L'oreiller est un feu. Changement de scénario. Mon cœur s'emballe mais je ne veux pas l'effrayer. Je ne dis rien, j'improvise. Mon corps est sur le sien et je continue à lui faire l'amour. Je réfléchis, un point d'eau "La douchette de la baignoire". Je me retourne, tend la main. Trop loin, inaccessible dans ma position.

Le feu commence à grandir. Avec ma main gauche j'attrape l'oreiller et le pousse par terre entrainant avec lui les quatre bougies posés sur la table de nuit.

" Qu’est ce que c'est ? "

" Rien ma chérie " d'un ton essoufflé.

Je suis toujours en elle, tout en faisant des acrobaties.

" Ça sent le brulé, y a pas un truc qui brule ? "

" C'est rien, juste la bougie qui est tombé "

J'aperçois à gauche du lit, les flammes de plus en plus grosses qui se rapprochent dangereusement des rideaux. Une fumée commence à envahir la pièce.

C'est la que j'ai accepté le fait qu'un homme ne pouvait pas faire deux choses à la fois.

" Bouge pas ma chérie, je reviens "

" Mais qu’est ce qu'il se passe, ça sent vraiment le brulé "

" T'inquiète, je gère "

Je saute sur le côté du lit, pose les pieds sur les bougies et la cire brulante qui jonchent le sol. En m’agitant je renverse les dernières qui étaient restés debout, attrape l’oreiller et arrache le rideau de droite. J’ouvre la fenêtre. Elle relève la tête de quelques centimètres et essai de bouger les bras.

" Mais tu fais quoi, Y a le feu ? "

" Rien de grave, c’est l’oreiller, il est jaloux "

Je balance tout dans je jardin tout en essayant d’éteindre les quelques bougies à ma portée, et me couche sur elle en la serrant dans mes bras.

" C’est fini " Le risque est passé, je la rassure en l’embrassant le temps que la fumée s’évacue un peu.

Avant de la détacher, je regarde la pièce. La table de nuit, le sol et le rebord de la fenêtre sont rempli de cire et de bougies couchées. La tringle du rideau côté droit pend lamentablement et la fumée c’est collé au plafond. Mon rythme cardiaque commence à ralentir.

Je lui détache les mains, la soulève vers moi. Nos visages sont à vingt centimètres l’un de l’autre. Je lui enlève le bandeau. Sa tête fait un petit 180 degré pour établir un état des lieux de la situation. Nous regardons la fenêtre ouverte pour découvrir un joli feu de joie occasionné par l’oreiller dont les flammes atteignent cinquante centimètres.

Je prends son visage à deux mains pour le rapprocher du mien. Nous nous embrassons.

 Evitez de jouer avec le feu, surtout lorsque vous faites l'amour.

26 juin 2017

LES YEUX DE BANGKOK

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En voyage d’affaire à Hong Kong pendant un mois, je décide de passer quatre jours en Thaïlande. Le pilote annonce la descente sur Bangkok. Je ne connais pas la ville mais mon voisin de droite côté hublot, un suédois blond avec une coupe de jamaïquain me propose de prendre ensemble un touc touc pour rejoindre Cocoboystreet. Quartier chaud du centre.

Après trente cinq minutes de « je te défonce le dos ». Nous arrivons dans un bar gloc à minuit, où se mêlent thai et occidentaux. Mon Rasta suédois commande deux whisky Mékong coca. « J’apprendrais le lendemain qu’il faut éviter de le boire, mais on peut s’en servir pour dégraisser ou allumer un bbq »

Après deux litres moins le quart de whisky Mékong, je m’aperçois qu’un thai est à notre table. Le Jamaïquain nordique se lève en titubant et me fais comprendre la bouche pateuse qu'il va se coucher.

Reste le thai.

" T’appelle comment ? Moi c'est Chris "

" Wang "

" Dis moi Wang, ou je peux trouver une fille et dormir chez elle cette nuit "

" Pas problème, toi venir maison, moi trouver fille pour toi "

" Déconne pas Wang, je ne veux pas me retrouver seul avec toi "

" Non, pas soucis, Wang chercher fille "

" Ouais "

Je règle les 2 bouteilles et nous voilà parti à pied dans des ruelles de Bangkok pas plus large que les allées d’un avion. Ça fait dix minutes que l’on marche et je n’en vois pas la fin.

" He, Tang, (ça c’est le Mékong, on en a tendance à inverser les consonnes) la fille est chez toi ? "

" Non, moi téléphoner, fille venir "

" Ok, mais ça m’arrangerais que tu l’appelles maintenant "

" Oui pas problèmes " et il continue à marcher sans téléphoner.

Après avoir éviter deux attaques de rats géants dans son quartier. Très fier, il me montre du doigt l’appartement ou il habite situé au quatrième étage d’un immeuble ou l’on n’aperçoit même pas les fenêtres tellement qu’il y a de linge étendu.

Bon ok, J’avais déjà quitté le monde civilisé depuis le départ du bar, j'étais plus a ça prêt.

Nous montons les escaliers, croisons des familles qui font chauffer des plats sur le palier et mange par terre. Des enfants courent tout nus dans les couloirs, la plupart des portes d’appartements sont ouvertes. Tous sont très polis, mais je me demande si je n’ai pas fait une erreur en suivant mon pote Pang.

Il ouvre sa porte, m’invite à entrer et se jette sur une bouteille de Mékong. Fier de me servir un verre, je le remercie et fait semblant de boire car la bouteille me parait suspect, au même titre que tout dans son appartement.

" Bon Mang, tu pourrais l’appeler maintenant la fille "

Il prend son téléphone et se met à parler. Je ne sais pas s’il appelle réellement une fille ou une bande des potes Thai pour me dévaliser. Je reste calme, mais sur mes gardes comme on peut l’être quand on a trop bu.

Il raccroche.

" Alors Bang, elle arrive ? "

" Oui, Oui " en faisant une petite inclinaison de la tête pour justifier de sa bonne action.

Dix minutes passent. On en est au cinquième verre et Je fais plus semblant de boire depuis le deuxième. Du coup, plus rien ne me parait suspect chez lui. On frappe à la porte et je crains le pire.
Il ouvre et apparaît une fille d’une beauté sublime. Elle avait des yeux magnifiques, légérement plissé, tirant sur le type eurasienne. Un regard qui vous fait fondre. Je ne lui demande pas son nom, sachant que je l’aurai oublié dans cinq minutes.

On est assis au sol et l’on partage des verres du breuvage local, on discute et on rigole. Elle est collée à moi, de longs cheveux noirs, un visage plutôt eurasien, de belles courbes et rarissime en Asie, une vraie et belle poitrine et des yeux verts.

Elle m’embrasse. Je passe ma main dans ses cheveux doux, descend le long de son épaule, jusqu'à la naissance de sa poitrine dans son décolleté.

Problème, j’ai oublié Fang.

Je me retourne et le voit assis en tailleur en nous fixant sourire aux lèvres. Je vois aussi qu’il a descendu le reste de la bouteille.

" Ça va Dang ? "

" Oui, moi va bien, content, très content "

" Ecoute Pang, ça me dérange que tu sois à coté de nous dans la pièce "

" Pas problème pour Wang, Wang content "

" J’imagine bien, mais moi ça me gène un peu "

J’insiste et menace de partir. Finalement il se lève avec le sourire et sort sur le palier. Je me lève à mon tour et verrouille doucement la porte, au cas où.

Je culpabilise un peu, mais relativise assez vite en me disant que ça ne durera pas longtemps et qu’il a des copains sur le palier.

Je retourne auprès de ma princesse asiatique et nous nous allongeons sur le lit. Telle une geisha, elle me déshabille entièrement et se met nue à son tour. Nous nous enlaçons, elle m’embrasse sur tout le corps. Elle est si jolie et douce que j’ai envie de l’épouser. Nous faisons l’amour et nous nous endormons.

J’ouvre un œil, le Wiskhy Mékong de la veille m’a ouvert la tête en deux. J’ai très très mal. Je réfléchis et regarde autour de moi. Le puzzle commence à prendre forme.

Elle est là à coté de moi, les yeux verts ouverts, elle me regarde. Elle me fait craquer. Je l’embrasse et lui explique que je dois partir sur ile de KOH PHI PHI.

Elle me propose un petit déjeuner. Je m’habille et cherche un cachet pour la tête dans mon sac.

Nous sortons, Merde, Wang, je l’ai oublié. Il est la, jambes au sol, dos au mur. La tête et les bras en avant, dans une position inconfortable. A se demander comment il tient et pourtant il dort. Je fais signe à ma douce de ne pas faire de bruit.

Nous quittons l’immeuble et allons se réfugier dans un de ces bars de Bankok ou l’on peut prendre un bon American Breakfast. Nous échangeons des banalités tout en mangeant nos œufs brouillés aux bacons. Elle est aussi jolie que gentille et son sourire est ravageur.

" Je dois me rendre à la gare routière ma beauté "

" Pas de problèmes " A croire qu’ils ont que ce mot à la bouche. Elle se lève et arrête un gars en moto sans casque. Lui parle en Thai et reviens vers moi.

" Il va t’emmener à la gare "

" Merci ma chérie, je garderais un très bon souvenir de cette nuit"

Je saute sur la moto avec mon sac, elle m’embrasse et le gars démarre comme un départ du Bol D’or.

Je roule cheveux dans le vent entre les ruelles. Je repense à cette superbe nuit et réalise qu’elle ne m’a pas demandé d’argent.

Il faut toujours suivre son instinct.

26 juin 2017

LA MAIN SUR LA BOUCHE

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Je l’adore mon Italienne, à la fois douceur et tigresse.

Mais je ne suis pas assez attaché et certains signes me font comprendre qu’elle a de plus en plus de sentiments. Je dois arrêter la relation pour la protéger. Depuis 2 mois que l’on est ensemble, c’est la première fois qu’elle vient chez moi. Je dois être fort et lui dire que c’est fini pour son bien.

J’ouvre la porte, la prend dans mes bras et lui fait un gros bisou, mais sans la langue pour entrer en matière. Je remarque qu’elle a son sac à main, mais aussi un colis noir d’environ un mètre.

On s’assoit dans le canapé. Je sers le Pinot noir dans deux grands verres et lui tend le sien. Après avoir bu notre gorgée. J’attaque.

" Ça a été ta journée ? "

" Moyen, ma collègue était malade, du coup, j’ai bossé pour deux " d’un ton blazé.

Merde, ça commence mal, mais je prends mon courage à deux mains.

" Faut que je te parle de quelqueschoses "

" Attends, avant j’ai un truc pour toi, j’ai une semaine d’avance mais je ne pouvais pas attendre le jour de ton anniversaire "

Elle se lève pour aller récupérer le fameux colis noir.

" Tiens, bon anniversaire mon chérie "

En même temps que je déballe, je réalise que ça va être plus compliqué que prévue.

" Whoua ", une jupe pour le Tmax.

" T’es folle, elle est magnifique "

" Ben oui, je ne veux pas que tu es froid aux couilles l’hiver "

Bisous sur la bouche et dans le cou. Puis je parle, je brode, je bouge avec ma jupe dans les mains dans le salon comme si j’allais la porter moi même. Tout ça dans le but qu’elle ne me demande pas ce que j’avais à lui dire. Mais…. parce que il y a un Mais, c’est une femme, donc.

" Tu voulais me dire quoi ? "

" Rien d’important "

" Mais si, dis moi "

" Juste un projet boulot, je voulais avoir ton avis, mais faut que je finalise deux trois trucs avant "

La soirée passe et nous décidons de monter nous coucher dans la chambre au premier. En montant les marches, je réalise que c’est la première qu’on va faire l’amour chez moi. Jusque là, rien d’alarmant. Sauf que lorsque l’on fait l’amour, elle crie.

Je ne parle pas de petit cri pendant la jouissance. J’entends par là, des cris mesurés à 95 décibels qui durent tout le long de l’acte, à chaque coup de rein et qui s’amplifie jusqu’à devenir gênant au moment de l’orgasme.

Jusqu’à présent, on a toujours fait l’amour chez elle. J'ai toujours eu peur qu’un voisin vienne taper à la porte pour demander.

" Tout va bien Madame ? "

Mais là, c’était chez moi. On arrive dans chambre mansardée, Velux grand ouvert, car c’est la canicule.

Elle est sur dos, elle écarte les jambes. Ses yeux me parlent et me disent de venir. Je viens vers elle, la surplombe, la domine. Je suis excité tout en pensant à comment je vais gérer les cris. Je sais que tous les appartements ont les fenêtres ouvertes à cause de la chaleur et qu’à coté, il y a une famille avec deux enfants de huit et dix ans.

Je suis sur elle, je m’introduis en elle, Je lui fais l’amour. Sa chatte est toute mouillée. J’y vais doucement mais je sais qu’elle va vouloir que j’augmente la cadence et la force.

Ca rate pas, " Plus fort, encore plus fort "

Les cris commencent. Je pose délicatement ma main sur sa bouche.

" Qu'est que tu fais ? "

" Non, c’est juste pour les voisins, ils ne te connaissent pas encore "

" On s’en fout des voisins "

" Oui, on s’en fout, t’as raison "

Je sais que dans mon dos au dessus du lit, le velux est grand ouvert. Dans cette position, impossible de l'atteindre.

Je me retire d’elle doucement. La prend par les hanches et exerce une pression latérale pour la mettre sur le ventre. Je relève ses fesses pour quelle se retrouve à genoux. Ma main gauche lui attrape les cheveux et lui tire un peu pour qu’elle relève la tête. Je sais qu’elle aime ça. Ma main droite lui attrape l’épaule pour la maintenir fort à chaque coup de rein.

Je lui enfonce mon sexe. Elle est encore plus mouillée. Elle me caresse en passant sa main entre ses jambes.

Coup de rein, un cri. Coup de rein, un cri. C’est parti, je remets ma main sur sa bouche.

" Arrête avec ta main "

Je continue mes allers retours. Plus le coup de rein est fort, plus le cri monte en décibel. Je réfléchis à comment gérer la situation. Je lève les yeux et voit le Vélux à portée de main grâce au plafond bas de la mansarde.

J’enlève ma main de son épaule et attrape le bord du Vélux. J’arrive à donner un élan pour qu’il se ferme mais impossible de le verrouiller. Le corps arcbouté, le bras tendu, j’ai juste le bout des doigts qui exercent une pression sur le verrouillage mais insuffisante. C’est mieux mais, mais ce n’est pas encore ça.

" Mais qu’est ce que tu fais ? "

" Rien, je m’accroche "

" Plus fort et plus vite "

" Oui ma chérie "

Les cris ont dépassé les 98 décibels. Plus un seul moustiques dans la chambre, ils ont tous eu peur.

Bon, le Vélux, c’est mort. Il faudrait que je me lève pour le vérouiller, mais la position n’est pas optimum pour le faire et ma queue pas assez longue pour ne pas éveiller les soupçons. 

Nouvelle idée, la seule solution que j’ai d’écourter les cris qui ne cessent d’augmenter et de jouir en elle égoïstement. Mes coups de reins se font de plus en plus fort et rapide. L’excitation monte en moi.

" Je viens, je viens "

" Non, pas maintenant "

" Peu pas me retenir "

Je finis par jouir en silence, ma main lâche le velux que je maintenais en position fermé. Une chaleur infernale règne dans la chambre. Je m’excuse de ne pas lui avoir laissé le temps d’avoir un orgasme.

Je dois d’abord prévenir mes voisins.

26 juin 2017

LA FLIQUETTE

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La Loco, superbe boite de nuit à côté du Moulin Rouge en plein cœur de Pigale.

On est au bar. Mon meilleur ami est fatigué, il s’accroche lamentablement au comptoir. La bouteille de Rhum Vieux a pris le dessus sur nous et a gagné. Depuis une heure, je discute avec une fille charmante, un peu en chair, mais juste ce qu’il faut. A travers son chemisier, on distingue une belle et imposante poitrine naturelle.

Il est 2 heures, j’ai bu, je suis excité par les lèvres de cette blonde. Je l’embrasse, elle m’embrasse, on s’embrasse goulument. Dans le creux de l’oreille, elle me propose de passer la nuit chez elle. "Avec plaisir ma chérie".

Je la suis en voiture dans une banlieue dont je ne me rappelle plus le nom. Le quartier est louche, peu éclairé, les voitures sont pourries et les immeubles ressemblent à des HLM. Gagné, je suis dans une cité. Je gare ma voiture et fait une petite prière rapide pour la retrouver intacte le lendemain.

Dans le hall de l’immeuble, l’ascenseur ne fonctionne pas, bien sure. Elle me prend par la main et m’attire dans les escaliers. Je regarde vers le haut et aperçois huit étages. Ouf, le troisième est le bon. Elle ouvre la porte et m’installe dans le canapé. Part dans la cuisine et revient avec 2 bières et par magie en nuisette. Elle s’installe au pied du canapé et me dit.

" On prend un exta ? "

Mon cerveau dit non, mais ma bouche dit " oui "

trois secondes plus tard, j’avais gobé la pilule qui fait aimer tout le monde.

Elle me caresse et me dit :

" on t’as déjà sucé les doigts de pieds ? "

" non, jamais encore "

" Je peux ? "

" Mais faites madame "

Elle enlève mes chaussures, mes chaussettes et entreprend 10 fellations successives. A ce moment-là, sur l’échelle de l’excitation, je fleurte avec les 8/10.

Pour calmer mon état, je décide de la relever et de discuter 2 minutes, l’histoire de faire retomber la température.

" Tu fais quoi dans la vie "

" Suis flic "

" Alors, t’as des menottes "

" Oui, suis-moi "

On arrive dans la chambre, mignonne, rose et blanche. Au milieu, un lit avec des barreaux à la tête. Elle sort de l’étui d’un ceinturon posé sur une chaise, de vraies menottes de police. Je suis à 9/10 et le cachet commence à faire effet.

Elle me demande de l’attacher, elle se met à quatre pattes et attrape les barreaux. Je lui passe les menottes et verrouille en lui demandant, si elle a bien la clef. Elle se déhanche et pousse des petits sons. Elle est super excité.

" Prends moi sans préliminaire, fais ce que t’as envie de moi "

J’atteins la note de 10/10. Un peu de fumée commence à sortir de mes oreilles. Je bande comme un malade. Je la pénètre, de plus en plus vite et fort.

" Encore, défonce moi "

S’en ai trop, cette dernière phrase m’annonce l’arrivée imminente d’une jouissance. Alors je donne tout ce que j’ai comme un sprinteur à cent mètres de l’arrivée d'une course de mille mètres.

Je viens, elle crie, je pousse des grognements.

Je la détache. On s’endort.

Neuf heures. J’ouvre les yeux. On est qu’elle jour ? jeudi, merde, suis en retard

Je tourne la tête et la vois sur mon bras. Son joli visage endormi. Je décide de partir sans la réveiller. Je tente d’enlever mon bras doucement.

" qu’est que tu fais ? "

" Je dois partir "

" Non, pars pas maintenant "

J’insiste. " Il le faut "

" J’ai envie de te sucer "

" Faut pas me dire ça " Je tire sur mon bras ankylosé, cherche mes affaires et m’habille. Enfin, j’essai car je bande et elle s’est levé du lit tel un prédateur, pour essayer par tous les moyens de me sucer. Pendant que je mets ma chemise, elle déboutonne mon pantalon. Je regrette de l’avoir détaché du lit. A petits pas, je me dirige vers le couloir.

Je suis debout, je tiens mon pantalon à mi cuisse et tente de gagner quelques centimètres vers la porte palière. Elle est à genoux et continue de me sucer. Elle se déplace à la même vitesse que moi vers la sortie. Moi à pied, elle a genoux. La route est longue mais je me rapproche du but. Je tends le bras vers la poignée. Plus que quelques centimètres. Mon sexe est toujours prisonnier de sa bouche. J’ouvre la porte et mets un pied sur le palier pensant qu’elle allait s’arrêter, mais rien n’y fait. J’attrape le rampe centrale de l’escalier et m’y colle.

" On est sur le palier, ça craint si on nous voit "

Elle lâche mon sexe, prend une respiration, me regarde, et me dit.

" Je m’en fou "

Je n’ai pas eu le temps de profiter de cette seconde de répit pour descendre quelques marches, elle m’attrape les fesses avec ses mains et me remange tout cru. C’est à ce moment que j’ai compris que le sexe fort était la femme et non l’homme et que si je voulais partir rapidement était de lui donner raison. Alors je lui ai attrapé les cheveux et je me suis laissé aller dans sa bouche.

Quelques grognements plus tard.

Tout propre le Chris, travail de professionnel.

Je remonte mon pantalon. Elle remonte ma braguette, me regarde en levant les yeux, me sourit.

" Voila, Tu peux y aller maintenant "

Je la remercie et lui fait un bisou sur le front, bien sure.

Il n'y a pas que du mauvais avec la police.

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